Le Monde de Blütmensh
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Le Monde de Blütmensh

Deux Races, une seule Guerre pour la Survie Deux autres race se sont ajouter, les elfs et les loup-garoux
 
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 HISTOIRE INCONNU

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MessageSujet: HISTOIRE INCONNU   HISTOIRE INCONNU EmptyJeu 25 Mai - 4:26

[bon, alors, je prévient tout le monde, cette histoire ne se passe pas dans le monde de Blutmensch, mais à des rapports avec les vampires, j'espère de tout coeur qu'elle vous plaira]



Histoire inconnue
Nos deux peuple se font la guerre depuis des millénaires, sans que les humains n’intervienne, du moins, jusqu’à un certain moment car par un malheureux accident, un sort tomba sur des humains, leur donnant un pouvoir… mais très peu le possédait…Maintenant, nos deux peuples, pour recevoir l’aide de ces humains, qui ne le sont plus vraiment, se battent encore plus, les entraînent des fois contre leurs gré…


Je suis debout devant le miroir, incrusté dans l’un des battants de mon armoire. Dans ce miroir, je voix un jeune garçon de 13 ans et demi, qui porte un jean large, avec des converse, un T-shirt à manche longue de couleur gris clair, par-dessus une chemise à manche courte, noire. Il avait le regard inexpressif, à sa droite une petite lampe éclairait d’une lumière faible et orangée dans la pièce. Elle n’était pas bien grande ; en face la porte se trouvait un lit deux place, le lit était fait, mais la housse de couette était anormalement pliée à certains endroits, ce qui signifiait qu’on c’était allongé là au paravent. Le lit était dans le coin droit et son pied donnait vers la porte. A gauche du lit, se trouvait une petite table de chevet, dessus un réveil, qui indiquait 1H00 du matin, et la petite lampe, ainsi qu’une pile de gros et volumineux bouquins, qui était à deux doits de dégringoler par terre. Entre le mur et la table, se trouvait l’armoire, avec son miroir, grande et sobre. La fenêtre était sur le mur adjacent a celui à qui l’armoire faisait dos. En face l’armoire, se trouvait un bureau, raisonnablement désordonner. Entre la porte et le bureau, se trouvait une bibliothèque, remplit de livre de fantasy et de mangas. Enfin, derrière la porte se trouvait un petit meuble, dessus il y avait une chaîne hifi, qui déversait une chanson rock.
Devant son miroir, le garçon ce regardait, le côté droit de celui-ci était éclairé par la lumière de la lampe, révélant un visage normal d’un enfant de treize ans. Son côté gauche, resté dans l’ombre, était inexpressif et sans la moindre émotion, son œil gauche semblait tout observer, faire attention au moindre détails, aussi insignifiant soit-il, il était en constance éveil, mais contrairement à l’autre, qui exprimait les expressions du garçon ; il était neutre et ne paraissait porter aucun jugement : il était terrifiant…
Le garçon essayait de faire toute les têtes possibles : triste, vieux, haineux…son œil gauche n’exprimait pas ces expressions, ou alors très peu ; contrairement au côté droit de son visage ; il restait totalement impassible. Lasser le jeune homme resta un moment devant sa glace, sans plus rien tenter ; il pensait : pourquoi est ce qu’il avait l’impression d’être différent, sans rien faire de spécial, ses amis aussi était comme lui, mais à par eux il ne ressemblait pas aux autres adolescent de son âge, et il n’avait pas envie de leur ressembler, il voulait juste savoir pourquoi est ce qu’il était différent.
C’est vrai qu’il était bien là avec ses amis, mais ils voulaient que ça bouge, car il en avait marre de faire chaque jour la même chose, mais il y avait peu de chance pour ça…quoique qu’il restait un infime espoir…
Au bout d’un moment, le garçon se remit à faire quelque chose : il ôtait sa chemise et la déposa délicatement sur la chaise devant le bureau ; puis il enleva son T-shirt, révélant un corps musclé, et sa grâce aux cours de ninjutsu, qu’il avait tout les soirs en semaine, ils avaient décidés, il y à environ 2 ans, avec ses amis, de faire un seul et même art martial, tout les trois. C’était tombé sur le ninjutsu, l’art des ninjas, il fallait dire que c’était efficace si un jour in devait se battre contre quelqu’un.
Sinon, il avait un visage fin mais dure, des yeux, qui de loin paraissaient noirs, mais de près on les voyaient marron foncé,quelques peu mêlés de rouge, mais à peine. Des cheveux d’une dizaine de centimètre d’un brun foncé, raide et légèrement en bataille.
Il n’avait aucune spécificité, si ce n’est ce « tatouage », dans son dos ; il ne s’était jamais tatoué, mais le moi dernier, il avait commencé à apparaître, il ne savait pas pourquoi, il avait d’abord été formé un yin yang, d’abord à peine visible, mais il était maintenant visible comme un vrai tatouage, puis des flammes rouges et bleus, avaient ensuite commencées, elles aussi à apparaître. Le yin yang était situé au milieu de son dos, puis les flammes montaient vers l’omoplate gauche, par-dessus l’épaule et dans le cou ainsi que légèrement sur le torse. Le tatouage était très beau, et il l’adorait, mais d’une par vu qu’il allait sur son cou, il n’allait pas pouvoir le cacher longtemps à ses parents, et deuxièmement, il y avait aussi autre chose, ses amis aussi, avaient des « tatouages», il aimait son tatouage, il ne l’avait pas choisi, mais il faisait partit de lui et bien qu’il ne sache pas pourquoi, il était mieux avec…








Le lendemain, il se leva, comme à son habitude, à 6H00. Après, qu’il se fut levé, il alla, prendre une douche rapide, puis il déjeuna (petit-), un grand verre de jus multi vitaminé et une tartine de pain. Puis il partit pour l’école à pied. Au bout de 15 minutes il arriva, son collège étais le plus réputé de la ville, il n’était pas très grand, mais il y avait quand même une salle pour chaque cour. Il entrait toujours par l’entrée de derrière, bien que normalement elle fut réservée aux professeur, celle-ci lui offrait un sacré raccourcit ; il n’était pas du genre à respecter toutes les règles, mais les enfreindre juste pour le plaisir était loin de sa mentalité. Comme à son habitude, il se glissa discrètement par le portail, en faisant attention à ne croiser personne ; il passait ensuite, derrière la palissade, où se réunissaient tout les professeurs du collège lycée, qui fumaient, autrement dit presque tous. Souvent il s’arrêtait 2 minutes pour écouter leur conversation, c’est fous se qu’on pouvait en apprendre, sur les profs et leur habitude : il avait appris comme sa que tout ses professeurs le prenait pour un flemmard qui ne fichait rien de la journée, et ne se foulait en rien pour participer (non mais vraiment, il avait 16 de moyenne, mais à par sa il ne fichait rien, incorrigible ces enseignants), il ne fallait non plus pas rêver, c’est sur qu’il ne faisait pas son maximum, mais pourquoi s’embêter à en faire trop. Il avait aussi appris quelques dates d’intero surprise et avait mis les trois quarts de la classe au courant, ils avaient même reçus les félicitations de la prof, car il étaient la classe à l’avoir le mieux réussit. Après deux ans d’écoute, il en avait conclu que les profs, étaient une « race » à part, il n’arrêtaient pas de parler de sujet porno, prenaient un malin plaisir à envoyer chier les élèves, que même si il n’avait rien fait, le prof ne pourrait pas se retenir de le « martyriser ». Fumait comme des pompier, et buvait comme une éponge ; bien entendu, il venait ensuite vous bassiner pendant des heures en classe, avec leurs « il ne faut pas fumer ni boire, c’est mauvais pour la santé » ; il ne voulait ni boire, ni fumer, mais à quoi bon dire sa quand on ne le fait pas soit même… il trouvait sa stupide (et il n’est pas le seul, fufu). En gros, il savait comment résonnaient ses instituteurs, et ne leur faisait aucun cadeau, en raison de leur injustice et de leur manque de logique envers les élèves.
Il entendit un bruit derrière lui, il se hacha vite derrière un petit murait, il l’avait remarquer la première fois qu’il était venu par la, et l’avait sauvé bien des fois, vous trouverez peut être sa stupide, mais il ne tenait pas à devoir faire un détour pour aller à l’école, alors mieux valait être prudent, plutôt que de dire à celui qui le prendrait en flagrant délit : « j’ai la flemme de faire un demi KM de plus pour arriver à l’école » ; sa n’améliorait pas sa réputation aux près des profs de flemmard, et autant rêver pour que celui qui me découvre n’en parle à personne : c’est aussi une manie chez les professeurs, ils sont commère et pipelet comme une pie, non, non, pire qu’une pie, la nouvelle serait répandue chez tout le monde avant la récréation du matin, alors bonjour ! De plus qu’il aurait le droit au rabattage d’oreille par tout ceux qu’il croiserait, et qu’il se prendrait une heure de colle, et que sa l’ennuyait de perdre 1 heure d’un temps précieux (même si il ne faisait rien).
Cacher derrière son mur, il aperçut une personne qu’il n’avait jamais vu au paravent, il était (car c’est un garçon) de très grande taille, environ 1,90 m, il ne portait que des vêtement noire, hormis, la cravate de son costume impeccable, qui était rouge sang. Il se déplaçait avec grâce, et assez discrètement, mais le garçon avait une bonne oreille, heureusement pour lui d’ailleurs, car l’inconnue parait très musclé, il est en tout cas sur de lui et avance vite, il évitait tout particulièrement les zones de plein soleil et portait de petite lunette de soleil ronde, et sans branches. Il passa derrière la palissade des profs et demande où trouver le directeur de l’école : Mr Toruma. Sa voix était grave et envoûtante, il ne prit pas la peine de se présenter, et dès qu’il avait obtenus les renseignements demandés, il s’éloigna rapidement. Le jeune garçon se releva et juste avant d’entrer dans la partit du collège qui lui était autorisée, il entendit un professeur dire : « Quelle impolitesse, il ne sait même pas présenté, franchement de mon temps… » : « Ahhhh, c’était bien les professeurs sa… » Pensa t il en entrant dans la cour de l’école pour rejoindre ses amis.
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MessageSujet: Re: HISTOIRE INCONNU   HISTOIRE INCONNU EmptyJeu 25 Mai - 4:27

Il arriva dans une cour assez grande, il dépassa une volé d’arbre, mal entretenu et avec des salles têtes, la cour était très salle, on avait l’impression que toutes les poubelles avaient été renversées par terre (ce qui est peut être le cas). Devant lui se trouvait un foyer, où certain élève se pressaient, pur être à l’ombre du soleil, qui bien qu’il soit tôt, brûlait déjà la peau. A sa droite se trouvait un préau ombré, à sa gauche quelques marches, devant une salle de classe, dessus plusieurs élèves étaient affaler et entasser, occupés à bronzer en parlant. Là il reconnut ses amis, étaler de tout leur long à parler en observant le ciel.
Il avait deux meilleur amis : Gildas, qui était assez grand, il avait des cheveux noir de jais en batailles, des yeux bleus clairs, un visage fin et blanchâtre, il était très mince, et vêtu d’un baggy usé, et de Vans lassé avec des lacet vert, jaune, rouge.
Il portait un T-shirt noir, avec un rasta dans le dos, ce style de vêtement lui allait bien, car il lui redonnait un peu de volume sur ses maigres os. Gildas n’était pas très tonique mais, il avait l’esprit vif, contrairement à se qu’on pourrait croire.

Sesuka lui, n’était pas très grand, il avait des cheveux teint en bleus au bout et en noir sur les racine et le début des cheveux, et coiffés verticalement en grosse pique sur sa tête, elles atteignaient bien les 25-30 cm de haut. Les deux autre garçon n’osait pas imaginer le nombre de pot de gel qu’il devait utiliser à l’année…Il était habillé avec un pantalon gris foncé, avec de grosse boucle pendantes, qui ne servait à rien, mais donnaient du charme au pantalon, il y avait aussi dessiné dessus une sorte d’aigle en plein vol. Il portait, sinon un maillot de l’équipe de Japon (il était japonais d’origine, et les deux autre en étaient adepte eux aussi, quand il voulait parler sans qu’on les entendent, ou juste pour épater tout le monde ils sortait quelques phrases en japonais ; c’était Sesuka qu’il leur avait enseigner cette langue, très bien d’ailleurs). Sesuka était assez tonique et super comique.
_ Ah ! Te voilà en fin Nathaniel! Lança vivement Sesuka, t’es en retard aujourd’hui !
Il s’avança vers ses amis, et s’affala à côté d’eux, en posant son sac en bandoulière noir à ses pieds :
_ C’est parce qu’il y avait quelqu’un qui s’est ramener, pendant que j’étais derrière la palissade des profs ! Un type bizarre d’ailleurs...
_ Ah, oui comment il était ? demanda Gildas, qui émergeait enfin de sa contemplation du ciel.
_ Bah, il avait… (Nathaniel leurs narra se qu’il avait entendu et vu)…Après tout c’est peut être juste un inspecteur, reprit-il après un cour silence de réflexion général.
_ C’est en effet, la solution la plus probable possible, continua Gildas.
_ Eh ! Regarder qui arrive ! Les arrêta Sesuka.




Sébastien arrivait en courant vers eux, il était grand, mince, et élancé, ces cheveux coupé châtains assez cour, lisse et fin, suivaient le mouvement de ses pas. Son éternel chemise blanche, mal boutonnée, un jean plus que bien repassé, et ses grosses chaussures noires bien cirées, lui allaient comme un gant. Il était délégué de la classe, et s’il courait comme sa c’est qu’il avait une importante nouvelle à nous annoncer, quoique qu’il s’emballait un peu vite des fois. Il s’arrêta essoufflé devant nous, plié en deux, son sac penchait sur son dos vers le côté droit. Une fois qu’il eu reprit un peu son souffle il nous dit :
_ Eh ! Les gars, vous savez quoi, il va y avoir une nouvelle dans la classe!
_ Ah oui, et c’est quoi cette nouvelle, tu le sais sûrement, non? Demanda Gildas
_ Gildas ! Emerge des fois, il veut parler d’une nouvelle élève sans doute?
_ C’est ça, une nouvelle élève, continua Sébastien, habitué par ce genre de réaction chez Gildas qui ne l’aimait pas beaucoup, et prenait un malin plaisir à l’embêter. Elle s’appelle Shizuka.
_ Génial une japonaise ! s’écria Sesuka, Je veux la voir, elle est où ?
_ Je ne sais pas, elle n’a pas l’air d’être arrivée, c’est le directeur qui me l’a annoncé.
_ Beuh, émit déçu Sesuka.
A ce moment là, la cloche sonna et ils allèrent se mettre en rang :
_ Oh lala, français ! s’écria Nathaniel. On va bien se faire chi** !
_ Sa tu l’as dit, remarqua Gildas, si cette prof continue à faire des cours aussi passionnant, toute la classe va finir par m’entendre ronfler !
_ fufu, ça t’apprendra à être trop flemmard, tien!
_ Avez-vous fait vos lignes Mr kouglof ? s’écria Mme Begnaude, qui venait d’arriver.
_ Komuro, madame, mon nom de famille c’est Komuro, pas kouglof !
_ Inutile de changer de sujet, les avez-vous faites, oui ou non ?
_ Non, dit Sesuka à regret.
_ Et bien vous m’en ferrez le double pour le retard, et le triple pour vous avoir encore une fois, pas mit en rang. Reprit le professeur de français.
Ils montèrent dans la classe, et le cour commença. Sesuka fut évidemment interrogé : la prof était pas du genre original. Au moment, ou la prof, posa une question, auquel il ne savait pas répondre, la nouvelle élève arriva, avec seulement 20 min de retard. Elle était grande, musclé, elle avait un visage fin, des yeux noir, qui reflétaient tout. De longs cils, des cheveux étaient coupés au carré fins et lisse, il était attaché en queue de cheval. Elle portait un T-shirt noir large avec un nirvana dans le dos, un pantalon kaki large avec de grosse poche sur les côtés des genoux. Elle expliqua à la prof qu’elle s’était paumée dans la ville. Et alla s’asseoir, à la table libre devant moi, juste après s’être présentée devant la classe. C’est là que je remarquai sur son cou, la même flamme qui ornait le mien, et celui de mes amis d’enfance. Je savais que cette fille avait quelque chose de spécial. Le cour se termina, pour laisser place à celui d’histoire géo. Le prof arrivait comme toujours 5 min avant que le cour précédent se termine, je n’eu donc, pas l’occasion de parler avec elle. Je lui envoyait un mot : Salut, dit moi t’as fait fort en arrivant avec 20 min de retard au cour de français, la prof va jamais te le pardonner !! Et franchement je te plains. Mais dit moi tu parles japonais ?
J’attendis quelle que minutes, puis elle me redonna le bout de papier. Elle avait écris le message en japonais, croyant sûrement que je ne pourrait pas le lire :
Oui, évidemment je viens du japon, elle a vraiment pas l’air commode la prof dit donc, et celui la il est chient à mourir d’ennuie !!!!!!! Je dors déjà RZZZZZ. LOL
Quand je répondis moi aussi dans un japonais presque parfait, elle se retourna vivement vers moi, les yeux gros comme des balles de base ball. C’est la qu’elle remarqua à son tour mon « tatouage ». Elle se retourna vivement, pour réécrire un message, sur le petit bout de papier, qui provenait de mon cahier. Je donnais un coup d’œil au prof, histoire de m’assurer qu’il est bien en train, comme d’habitude, de débiter son cour, sans se soucier, des papiers « volant », des fou rire pas contrôler, des élèves qui lisent des livres, sans aucun rapport avec le cour. Mais quelqu’un frappa à la porte : c’était le directeur, et l’homme bizarre que j’avais aperçu. Je fis un signe furtif à Gildas et Sesuka, pour leur dire. L’homme paraissait inquiétant, ainsi vêtu. Et le directeur lui était assez stressé, comme à son habitude.
Il s’avança vers l’estrade…





_ Mr Albéric FULBERT, il voudrait parler à Mr Sesuka KOMURO, Mr Nathaniel SELMA, Mr Gildas MATHAEL, et Mlle Shizuka KENSHI.
Bizarrement, on se leva tous en même temps, pourquoi est ce qu’il voulait nous voir, cet Albéric. Je lançais un regard furtif à Sesuka, il prenait son air de celui qui ne comprenait pas, et je le comprenais bien, Gildas était dans la lune, et Shizuka elle était impassible. Le directeur nous pria de nous dépêcher, j’attrapait rapidement mon sac, et le lançait sur mon épaule. Le directeur nous fit signe de sortir hors de la salle, il s’excusa au près du professeur et ferma la porte, puis il se tourna vers l’homme étrange :
_ Ils sont à vous ! Faites en ce que vous voulez. Puis il partit d’un pas rapide.
_ Quoi ? Mais qu’es…, commença Sesuka.
Mr Fulbert, lui donna un coup de poing dans le ventre, il en eu le souffle coupé. Aussitôt, et par réflexe, Gildas et moi prime une garde de ninjutsu, je fus stupéfait de voir que Shizuka aussi.
_ Bien! Reprit Albéric, je voix que le travail sera moins dure que ce à quoi je m’attendait.
_ De quoi voulez vous parler ? Criais-je.
_ Fufu, venez, suivez-moi. Sans discuter, à moins que vous vouliez recevoir une petite correction.
Il sourit narquoisement montrant ses belles dents trop blanches. Voyant que Sesuka se tenait toujours le ventre, je me dis qu’il ne fallait mieux pas trop insister. Nous le suivons donc, jusqu’à une voiture noire, une limousine. La porte s’ouvrit toute seul, Albéric nous poussa, non sans douleur, dans la voiture. Je n’était encore jamais monté dans une limousine : l’intérieur étais très spacieux évidemment, les sièges étaient les uns en face des autres ; 3 sièges normalement positionnés, et 3 autres en face. Une vitre teintée en noir séparait, cette dernière partit, avec celle du conducteur. Les 4 adolescents se serrèrent une banquette, personnes ne voulait se trouver à côté de cette Albéric, qui de toute évidence, avait des tendances violentes.
La porte se referma, toute seul, dès qu’il fut entré, les vitres là aussi étaient teintées, si bien qu’on ne voyait pas où la voiture nous amenait.
Albéric, s’installa confortablement sur la banquette en face de la notre, appréciant le confort d’être seul dessus. Puis il nous regarda intensément, tour à tour, nous avions la désagréable impression, qu’il nous scannait. Enfin, il daigna parler :
_ Bien, commença-t-il, à partir de maintenant je suis votre maître, il disait cela avec un rictus, qui ne cachait pas que la chose l’embêtait grandement, vous devrez donc, m’appeler ainsi…
A côté de moi je sentais Sesuka sur le point de lancer une réplique bien cinglante, comme il en avait l’habitude de faire avec les personnes qui l’énervait. Je lui donnais un petit coup de coude discret, pour lui faire comprendre que s’il ne voulait pas reprendre dans le ventre un coup de poing, il avait tout intérêt à se montrer poli :
_ Et qu’est ce qui vous fait dire ça ? Que je sache, c’est quand même soit à nous, soit à nos parent de décider si quelqu’un doit être notre maître ou non ? Et puis, d’abord, vous êtes maître de quoi ?
_ Oh, vous apprendrez, vite de quoi je suis maître, mais si sa vous rassure, vos parents, vous ont…, comment dirais-je…, « vendu », avant même que vous n’ayez été conçus !
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MessageSujet: Re: HISTOIRE INCONNU   HISTOIRE INCONNU EmptyJeu 25 Mai - 4:27

Un lourd silence pesait désormais sur la voiture. Mais Gildas, ne pu s’empêcher d’éclater de rire.
_ AH ah, vraiment elle est très bonne celle là, ahahaha…
Voyant que personne ne rigolait, avec lui ; il continua :
_ Ah, c’est pas une blague, …, mais c’est pas possible, mais parents, n’aurait jamais fait ça !
_ Et bien, il faut croire que si, répondit d’un ton cassant Albéric.
_ Et qu’est ce qui nous fait croire que vous dites la vérité, Mr… Fulbert. Demanda Shizuka.
_ Hum, aucune confiance, c’est très bien…
Là, encore ses paroles nous laissèrent perplexe, mais il continua, sans prendre en compte, nos regards interrogateurs :
_ Voici, les contrats qu’ils ont signés, continua-t-il, en tendant 4 feuilles.
Je reconnaissait sur l’un d’eux la signature de mes parents, mais yeux, fixèrent ensuite les quelques lignes écrites au dessus : elles disaient, que mes parents acceptaient, de faire un enfant, qui leurs seras enlevé vers ses 14 ans, pour’ la coquette somme de 10 millions de $.
_ On vaut tant que sa ? Demandais-je, mais qu’est ce qu’on as de spécial.
_Fufu, c’est tout simplement à cause de vos pouvoirs, voyons. Dit Albéric.
_ Vous pourriez, peut être, être plus explicite, s’impatienta Sesuka…
_ Qu’est ce que c’est que cette histoire de pouvoir, continuais-je.
_ Fufu, vous ne vous êtes donc, jamais demandé pourquoi vous aviez ces flammes autour du symbole de l’équilibre ? C’est bien là, la marque d’un réel pouvoir, non?
_ Mais qu’elle pouvoir est ce qu’on a ?
_ Il varie d’un individu à l’autre,…
_ Bon si vous nous disiez tout de suite de quoi il s’agit, au lieu de tourner au tour du pot pendant 50 ans, hein, qu’est ce que vous en dites ? Le coupa brutalement Shizuka.
Le soit disant « maître », parut très agacé par cette intervention, visiblement, il n’aimait pas être coupé dans son discours, par reflex sans doute, il ôta ses lunettes, révélant des yeux bleus, d’une infime pureté, il essuya ses lunettes déjà propre, et les remit sur son nez fin.
_ Hum, fit-il, je croix que nous continuerons cette discussions plus tard! Nous sommes arrivez !




Quand, je sortis de la voiture, je me trouvais dans un quartier d’une ville que je ne connaissais pas. Devant moi se dressait un hôtel miteux, il y avait 5 étages, l’enseigne électrique, grésillait, au bon vouloir des ampoules. Albéric nous poussa violemment à l’intérieur, il prit une chambre et nous y conduisis. Les escaliers étaient étroits et, les marches de bois grinçaient à chaque pas. Il ouvrit la porte qui, elle aussi grinçait dangereusement sur ses gonds. A l’intérieur, la pièce principale était mal éclairée, le plancher, vieillot débordait de poussière, il y avait un lit dans le coin droit, du mur, où se trouvait la porte. Une simple commode, mal peinte, se trouvait sur le coin en face de celui où se trouvait le lit. En face de la porte se trouvait deux fenêtre, les rideaux étaient presque complètement tirés, laissant, seulement, un mince filait de lumière blanche. A côté de la commode se trouvait une porte en bois blanc, derrière se trouvait la salle de bain, elle était étroite, et seulement constituée, d’un petit lavabo et d’une douche, le tout grouillai de cafard. Albéric, tira complètement les rideaux, ne laissant plus passer du tout de lumière. Il s’assit sur le lit, faisant lever un petit tas de poussière grise, on y voyait presque pas, mais même dans la pénombre, on distinguait encore, le reflet de ses lunettes rondes. Puis, il nous fixa intensément, et après un long moment, il finit par dire :
_ Je vais jouer franc jeux avec vous, il s’interrompit, puis reprit, dans quelques minutes, je vous emmènerai dans un autre monde, là-bas, vous m’ennerrez une vie de Hunter…vous apprendrez l’art de l’alchimie…tout sa bien sur, si vous réussissez le test ! Termina-t-il
A ce moment là, j’ai vraiment pensé qu’il avait pété un câble, de l’alchimie maintenant, non mais sa allait pas bien ! Je regardais les autres, nous nous lancions des regards, qui voulait dire : « Ben voyons, bientôt il allait nous annoncer que la terre est une énorme pizza ». Gildas prit les devants :
_ Oui, bien sur, et vous connaîtriez pas Cendrillon par hasard, j’aimerai lui dire deux mots, parce qu’elle ma pas rendue Excalibur, que je lui avais prêtée, pour qu’elle tue le prince charmant, qui l’avait trompée avec La Belle Au Bois Dormant.
Là, ce fut au tour d’Albéric de nous regarder avec des yeux gros comme des soucoupes, comme si que l’on n’étaient des extraterrestres :
_ Enfin de quoi voulez vous parler ? dit-il assez septique, on lisait dans son regard qu’il ne comprenait pas et sa tête, allait de gauche à droite très rapidement, comme des tics. Il était à moitié affoler. Et en plus il ne connaissait pas Cendrillon, bon apparemment, il ne venait pas de ce monde, bah après tout il l’a dit, «je vous emmène dans un autre monde». M’enfin, je trouvait sa bizarre quand même.
Shizuka lui dit de laisser tomber, car Sesuka était dès fois nerveux et disait n’importe quoi. Gildas et moi avions du le retenir de toutes nos forces pour pas qu’il aille tuer Shizuka, et Albéric qui était maintenant plié en deux. Quand il se releva du lit (doux il était tombé tellement qu’il avait rie), il essuya une dernière larme de rire et reprit son sérieux et son calme plat habituel :
_ Bien, le test, est une sorte de parcoure du combattant, si vous préférez, vous devrez trouver des énigmes, échapper aux nombreux pièges qui seront tendue, peut être affronter d’autre personnes… Vous pouvez choisir de le faire seul ou en groupe de 4 personnes maximum, ce qui tombe bien, que vous ne soyez ni plus, ni moins. Car, dans le travail d’alchimiste est extrêmement dure et difficile, la force d’autres personnes est un atout, cruciale parfois. Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas faire des travaux en solo.
_ Ah, ouai, c’est bien tout ça, mais quand on a pas envie de devenir alchimiste, on fait quoi ? Dit Gildas.
_ Hum, voyez vous, le fait est, que vous n’avez pas le choix, là est tout notre avantage. Répliqua Fulbert un infime sourire aux lèvres.









_ Quoi ! Hurla Sesuka, non mais sa va pas la tête, et si on veut pas être alchimiste, et bah on ne le devient pas et puis voilà ! On a le droit de décider de ça, que vous le vouliez ou non !
_ Fufu ! Certes vous êtes libre de choisir, mais, dans le monde où je vais, il y a très peu d’humains, les seuls humain qu’il y a, sont des alchimistes, les autres ne reste pas en vie, disons, plus de quelques heures... Et comme, de toute manière, je vous emmènerai sur Ritver, vous n’avez plus que le choix entre la mort et l’alchimie.
_ Hum, je voix que les droits de l’homme sont en application chez vous, sa fait peur. Critiqua Shizuka.
_ Oui, mais, vous avez encore un choix… susurra Fulbert, qui paru mal à l’aise tout d’un coup.
_ C’est moi, ou ce type n’a aucune logique ? demanda, de son habituel ton lent, Gildas.
Il eue droit à un foudroiement du regard. Albéric, avait pourtant toujours le visage impassible, mais ses yeux paraissaient vouloirs fouetter Gildas, qui ferma la bouche, avant que la réplique qu’il s’apprêtait à lancer sorte de sa bouche.
_ Bien, je vais donc tout vous révéler, vus que vous paraissez malins et intelligent, sa ne sers à rien de jouer…
_ Ah, c’est que maintenant que vous vous en rendez compte ! Railla Sesuka.
Fulbert continua sans faire attention au commentaire :
_ En réalité, il y a deux races,...les loups-garous et les vampires, ces deux races se livre un combat effréné depuis la nuit des temps. Les loups-garous, font de la magie, c’est leur domaine principal en plus de l’élémentale, nous disposons aussi du savoir élémentale, mais il est plus ou moins, intensément concentré dans chaque personne. Vous, vous possédez un taux de cette puissance élémentale, très fort, car vos marques, sont presque à maturité, alors que votre croissance, n’est pas encore terminée. Nous, les vampires, nous pratiquons l’alchimie, c’est un procédé qui demande beaucoup d’étude, car la subtilité de cet art, c’est de pouvoir changer la matière, du moment que l’on sait ce qu’il y a dedans, c’est pour cela qu’il faut comprendre les choses, la nature, et tout ce qu’il l’entoure, pour cela, pour transformer la matière, il faut donner une chose de valeur équivalente, c’est ce qui fait tout le risque, il faut aussi des pentacles, très minutieux, c’est aussi pour cela qu’être bon en dessin peu être pratique. Je ne puis vous en dire beaucoup, sur la magie, car je ne la maîtrise pas, mais je sais, que les grands magiciens, non pas besoin ni de pentacle, ni de formule, je ne sais pas pour les apprentis, mais il paraît que la magie est beaucoup plus facile à apprendre, la difficulté, car ce sont des arts de forces équivalente, c’est que, elle est aussi beaucoup moins puissante, et moins précise, il faut pour éviter cela une grande force mentale, et une grande résistance physique, mais comme je l’ai déjà dit, il est très rapide d’apprendre les bases, c’est pour cela, que presque tout les loups-garous la pratiques en partie. Quant à l’alchimie, il faut plus d’étude, avant de vraiment pouvoir avoir des résultats concluants, mais, un bouclier de protection fait en alchimie, ne cèdera pas, tant que le pentacle est intacte, bien sur il y a différent niveau, mais un bouclier magique, lui s’usera en même temps que les forces de celui qu’il protège.
_ Mais alors nous, on vas devoir être des vampires, parce que vous vous êtes un vampire, et que vous nous avez enlevés avant les loups-garous…Ah oui, et puis pourquoi vous vous battez ?
_ Eh bien, le test s’effectuera, avec les jeunes apprentis, trouvé par les vampires, mais aussi par les loups-garous, c’est la seule chose que nous faisons en commun, mais, évidemment sans contact. Les nouveaux, dans la forêt, vont trouvez, l’un ou l’autre des deux camps, situé chacun à l’opposé de la forêt, ceux qui tomberons, chez nous, deviendrons vampires, ceux qui irons chez les loups-garous, le deviendront, et les autres mouront. Je ne sais pas pourquoi tout à l’heure, j’ai parlé que de l’alchimie, mais sans doute parce que depuis le temps que je recrute des recru, ils finissent tous dans le camps des vampires, mais en effet, ce n’est qu’une simple intuition, rien ne dit que vous allez finir dans mon camps…
Il regarda sa montre, que je n’avais pas encore remarqué, puis il se leva, tira sur ses manches, puis, il s’accroupit, se concentra un moment, enfin, il posa ses deux main sur le sol. Ce dernier s’illumina, et un pentacle, qui occupait toute la pièce apparue, le pentacle était entouré d’un cercle, qui touchait ses 5 pointes, tout au tour du cercle, à l’intérieur, était inscrite des runes étranges, et sinueuses :
_ Bien, continua Albéric, ne restez donc pas plantés là, placez vous chacune dans une des branche de l’étoile, comme sa si vous ne me croyez pas, vous allez changer d’avis.
Il se plaça dans une des branches, puis nous regarda, car nous n’avions pas bougé. Pour ma par, j’était totalement pétrifié, ce mec était un vampire, il voulait nous emmener dans une forêt, où nous avions le choix entre mourir, devenir vampire ou devenir loups-garous. Franchement, rien ne me tentait plus que ça, dans toutes ces propositions.
_ Qui vous dit qu’on a envie de vous suivre ? Dis-je calmement.
_ Ca c’est vrai, continua Gildas, on a jamais dit qu’on voulais vous suivre…, d’ailleurs on ne veut pas vous suivre, pour ma par en tout cas.
_Pour moi aussi c’est non ! Lança Shizuka.
_ Moi aussi je suis ce mouvement. Termina Sesuka.
Fulbert paru surprit un moment, puis à la surprise générale, éclaté de rire, de nouveau. Je lançais un regard à Sesuka, qui était d’accord avec moi sur le fait que l’intéressé avait de gros problème mental, et qu’il fallait qu’il voie d’urgence un psy, sacrément compétent, de préférence. C’est ce moment là que choisi, la belle Shizuka pour sauter vers la porte, pour l’ouvrir. Le problème était que la porte était verrouillé, le vampire, avait du la fermer, pendant que l’on entrait dans la pièce.
A partir de la le vampire Fulbert s’arrêta net de rire, et nous regarda tour à tour, sans prévenir, il posa ses main sur le bord du cercle et se fut le grand voyage…





Je me sentis propulsé en l’air, à une violence extraordinaire. Je failli vomir tout ce que j’avais dans l’estomac. Cette envie fut stoppée net, car j’heurtais de plein fouet Gildas. Puis, nous sommes tombé, tous en tas par terre. Comme bien sur je suis très chanceux, j’atterris tout en dessous. Ainsi compressé je sentais bien l’herbe, haute et fraîche sur ma figure, accompagné d’un petit vent agréable, qui faisait s’ébouriffer mes cheveux. Je sortis de ma rêverie, quand le poids des autres commença réellement à se faire sentir. Là j’osais enfin ouvrir les yeux, nous étions dans une grande clairière, bien dégagée, avec de l’herbe bien verte d’une trentaine de centimètres. Gildas me fit sentir les pâquerettes, en me fichant un coup de pied dans la tête. Quand, je releva la tête, j’aperçu Albéric, qui visiblement lui, n’avait pas goûté au joie de l’herbe haute et fraîche, et malheureusement, il était encore plié en deux, en train de pouffer de rire.
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MessageSujet: Re: HISTOIRE INCONNU   HISTOIRE INCONNU EmptyJeu 25 Mai - 4:29

[ Et pour les intéresser de mon histoire (merci, merci), je vous rassure en vous disans que j'écris la suite, bien sur vous êtes libre de ne pas aimer (normale), et tout vos commentaire, idée ou autre truc du genre son les bienvenu, encore merci d'avance]
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MessageSujet: Re: HISTOIRE INCONNU   HISTOIRE INCONNU EmptyJeu 1 Juin - 15:49

Eh, c'est pas mal, bravo^^
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