La Mort

Je suis en train d'écrire une histoire. Voila le début. J'espère que ca vous plaira!

Introduction : Dans se monde, les chevaliers existent encore, les mythes sont réalité. La mythologie existe. Cette histoire se passe dans le Moyen Age. Nous sommes en Bretagne. La magie existe…

La Malédiction frappe

Théoul marchait sur le sable doux et humide que la mer balayait. L’eau lui léchait les pieds. Comme s’était agréable ! Théoul était agé de 12 ans. Il avait les cheveux blonds et mi-longs. Les yeux bleus gris enchantaient le village tout entier. Avec une bouche fine, un corps long et souple, toutes les filles l’aimaient. Il avat un caractère doux, mais s’énervait facilement quand on ne le laissait pas tranquile. Il aimait rester dans la tristesse car sa mère était morte pour lui. Il avait 6 ans quand sa mère, Hyndra, se sacrifia. Des Chevaliers du Mal étaient venus piller et massacrer l’ancien village où il habitait avec ses parents. C’était le carnage. Puis, une flèche fila dans sa direction. Mais, elle ne l’atteignit pas. Hyndra s’était effondrée, devant lui, une flèche dans l’épaule droite. Théoul avait essayé de la soigner, mais sa mère disparut le lendemain matin. Et ce matin, il avait entendu un chuchotement a son oreille, mais il ne s’était pas réveillé. Quand il s’était reveillé, son père conduisait une charrette. Son père, Elnyl, l’avait emmener dès qu’il s’était apreçu que sa femme avait disparue. Théoul s’était retourné et voyait de la fumée. De toute évidence, son village natal avait était brulé, par les Chevaliers du Mal.
Théoul avait pleuré sa mère et son village longtemps, et maintenant il espèrait la revoir un jour.
« Pourvu que se jour soit proche ! » Voilà sa pensée principal.
Il s’assit quand il entendit une voix de fille qui l’appelait. C’était Aélinna. Sa seule amie. Elle courait vers lui. Elle avait 12 ans, elle aussi. Ses longs cheveux chatains roux cascadaient sur ses épaules. Les yeux bleus verts avaient la forme allongés. Une bouche d’un rouge vif, un corps élancé et fin, aucune autre fille l’égalait dans la beauté.
Aélinna s’assit près de Théoul. Celui-ci était ravi de sa présence, car il l’aimait, mais il ne voualit pas lui dire.
-Bonjour ! J’étais sure de te trouver ici, dit-elle.
-Salut ! Je suis content que tu m’es trouvé… et de te voir, dit-il en rougissant un peu. Pourquoi viens-tu me voir ?
-Moi aussi, je suis contente de te voir. Je viens te voir parce que ton père va mal. Vas le voir. Oublie se que tu as contre lui !
Théoul n’aimait pas son père car il n’avait pas essayé de retrouvé sa mère, Hyndra. Il avait dit : « Oublis ta mère ! Elle est morte ! » Mais, pour Aélinna, il allait voir son père. Il dit :
-Qu’a t-il ?
-Il a une maladie, enfin je pense. Théoul, va la voir, le supplia Aélinna.
-D’accord, je vais le voir, mais je n’oublirais pas se qu’il a fait et se qu’il a dit.
Les deux enfants se levèrent et partirent au village, chez Théoul. Lorsque le fils vit le père, il faillit s’évanouir. Elnyl avait la peau verte et mouillée. Théoul dit :
-Me voilà, père. Que vous arrive t’il ?
Elnyl dit difficilement :
-Le malheur est sur moi, mon garçon. Je recolte le mal que j’ai semé. L’Ankou va me rendre visite. Tu as une seul facon de me guérir : va chercher le mage Ilnoul. Il saura me guérir. Je ne tiendrais que une semaine, voir plus. Pars maintenant, et si tu reviens avant que je ne meure, je te dirais un secret. Pardonne moi, mon fils.
Théoul avala sa salive. Il se retourna et alla préparé ses affaire. Il prit son arc, des couvertures… Il sortit de sa maison et vit Aélinna avec deux chevaux et des affaires a ses pieds. Elle dit :
-Je viens avec toi, si ca ne te dérange pas. Mon père m’a passé une épée et un poignard.
-Merci Aélinna, mais ne te sens pas obliger de venir.
Le père d’Aélinna était forgeron, et sa mère guérisseuse.
-Je ne me senns pas obliger de venir, et j’ai pris des herbes pour guérir et pour protéger. On part !
Ils montèrent à cheval, puis ils partirent au gallop. Théoul et Aélinna savaient se battre. Ils avaient appris, en même temps que les autres enfants du village, quand ils avaient 10 ans.
Le village disparaissait rapidement.


Fin du chapitre 1

Pas mal ...
J'ai hate de lire le chapitre 2 !!!

Voila la suite!!

Mort et Réponses

Théoul ne savait pas quel sentiemnt il devait éprouver. Aélinna, quant à elle, était triste pour le père de son ami, mais contente d’être avec lui. Le paysage défilait sous leur regard. C’était la première fois qu’ils s’éloignait, seul, de leur famille.
Arrivés à mi-journée, ils s’arrétèrent. Théoul prit son arc et partit chasser. Aélinna prépara le campement. Soudain, elle entendit un bruit de craquement. Elle se retourna et demanda :
-C’est toi, Théoul ?
Aucune réponse. Elle tire son poignard et attendit. Puis, un cri sauvage se fit entendre, en même temps que deux Chevaliers du Mal sortirent de leur cachette. Ils coururent jusqu’à Aélinna qui cria pourque Théoul l’entende.
Théoul avait découvery deux chevaux qui portaient, chacun, une selle. Ils avaient l’embleme des Chevaliers du Mal : un cœur humain coupé en deux avec une coute de sang qui tombait. Quand il entendit le bruit de son amie, il se précipita vers le campement, et la trouva prise avec deux Chevaliers du Mal. Il prit son arc, encocha une flèche, visa sur celui qui mettait le plus en danger la vie de Aélinna et tira. Le Chevalier la reçut en plein cœur. Il s’écroula, mort. Le deuxième fut tué d’un coup de poignard par la fille. Elle était blessée au bras gauche, mais elle ne le sentait. Elle fit bouillir de l’eau dans une casserole qu’elle avait prise, mit une feuille d’une plante. Puis, elle écrasa la feuille dans l’eau. Elle but le remède. Sa blessure arreta de saigner. Elle commencait a se refermer progressivement.
Théoul s’approcha d’elle. Il se baissa sur le Chevalier tué par Aélinna. Il avait était touché au cœur. Il dit :
-Tu n’as rien ? J’ai découvert les chevaux de ses serviteurs du Mal. Je vais les chercher.
-Je n’ai rien. Mais, que fesaient-ils la ?
-Je n’en sais rine. Je vais chercher ses chevaux.
Il partit. Il retrouva facilement les chevaux. Il les prit puis alla retrouvé Aélinna. Sa blessure s’était totalement refermer. On ne voyait plus que une fine marque. Elle attendit le retour de Théoul. Il arriva. Les chevaux avaient les yeux rouges, et leur robe était noir d’ébène. Sur le cheval le plus grnad, il y avait une lettre. Théoul la prit, l’ouvrit et la lut :
« Vous trouverez sur votre chemin duex jeunes enfants. Ramenez les moi vivants, sur votre vie. »
-Comment savaient-ils que nous étions partis ? Et comment nous connaissent-ils ? dit Aélinna.
-Je n’en sais rien. Quelqu’un à du nous trahir. Je ne comprend pas. Pourquoi venir nous chercher ?
-Que de question ! Nous n’aurons peut être jamais la réponse !
-Si, si nous nous faisions capturé ! Mais, jamais je le ferais. Bon, je vais retourné chasser.
Théoul partit. Aélinna resta seule. Non, pas seule. Une femme l’observait. Cette femme alla voir la jeune fille. Elle dit :
-Je ne te veux aucun mal. Je vous ai vu vous battre et entendu. Vous avez du courage. Je vais vous donner des reponses que je sais.
-Qui êtes vous ? Quelles réponses ?
-Mon nom te dira rien. Peut etre a ton compagnon, Théoul. Je m’appelle Hyndra. Les Chevaliers du Mal ont eu cette mission car leur chef, Morof, a entendu parlez de vous. il souhait vous voir.
Hyndra. Ce nom lui disait quelque chose. Aélinna ne se souvenait plus. Elle dit :
-Qui nous a trahis ? Vous nous avez vous suivi ?
-Je vous ai suivi. Le traitre est de votre village. C’est oncle, Branhir.
Son oncle était menuisier.
-Pourquoi nous aurait-il trahis ?
-Il vous a trahis pour faire ressurgir une vieille histoire. Cette histoire, je la connais, mais je ne la vous dirais plus tard, pas maintenant. Je vais partir maintenant, mais je vous suivrais. Adieu.

Fin du Chapitre 2